| | The greatest trick the devil ever pulled was convincing the world he didn’t exist. | |
| Auteur | Message |
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Albus McKinney
• sweet words : 4 • job : pub's owner
| Sujet: The greatest trick the devil ever pulled was convincing the world he didn’t exist. Mar 2 Fév - 23:03 | |
| (McKinney, Albus) ≈ On ne risque pas d’échouer dans la vie, si on ne tente rien. ≈ © img, quote.
nom complet • McKinney, comme mon père, et mon grand-père et mon arrière grand-père. Il en existe pas mal en Écosse, la famille McKinney est répandue là-bas. Pas encore ici, vu qu'il n'y a que moi Albus et non je ne suis pas un magicien, je ne dirige pas une école. J'étais là bien avant lui ! Techniquement c'est lui qui m'a copié et non l'inverse. Alors le vieux barbus, il me doit le respect ! âge, date de naissance • Je suis né le 13 avril de l'an 80 et oui j'ai déjà roulé ma bosse ! J'ai vu le jour à Exeter, royaume uni, mais j'ai grandi à Glasgow, écosse. En plus d'être plus tout jeune, je suis pas d'ici, un comble ? origines et nationalité • J'ai des origines écossaises comme mon nom l'indique par mon paternel,anglaise et française par mon père. Néanmoins sur mes papiers on peut lire anglais et écossais. Et non je n'ai pas pris la nationalité américaine. Je suis saint d'esprit, pardon mes chers camarades, mais je ne renierai pas les couleurs de mes ancêtres ! job, études • Je suis propriétaire du pub " TheJoker", j'aime bien mon métier, j'aime bien servir de la Guiness et écouter les gens. En plus j'organise des concerts tous les deuxièmes samedis du mois. statut civil • Actuellement en couple, elle n'a pas su totalement dompter la bête comme dirait ma soeur, mais ça. Nous sommes pas au stade "vivons ensembles", mais ça me convient. Je ne suis pas totalement prêt à ouvrir complétement ma vie et mon coeur. Autres histoires. Autres humeurs. statut familial • Mes parents vivent toujours dans la ferme à Glasgow, ils élèvent toujours les moutons et sont heureux. Ma soeur Lisbeth vient d'épouser l'homme de sa vie, du moins, c'est ce qu'elle dit. Mon chien Harry ronfle tous les matins et soirs et nuits. Je n'ai pas à me plaindre du côté famille, même si je suis le seul McKinney dans les parages. statut financier • Je n'ai pas à me plaindre. Je gagne bien ma vie, je ne suis pas du genre dépensier, pas non plus économe. Je me satisfais de peu pour dire vraie. Il en faut peu pour être heureux, n'est-ce pas ? parfum • Est-ce que l'odeur de la Guiness ça compte ? Non parce que c'est une odeur qui m'envoute. Je ne porte pas spécialement de parfum, un coup de déo, mais je préfère l'odeur de mon pub. Je ne saurais pas l'expliquer, j'aime aussi un bon vent frais. Histoire de me rappeler d'où je viens et le parfum de la brise au petit matin. expression favorite • Hum... C'est une bonne question. Je pense que je dis souvent, voir trop souvent "si tu l'dis", ça a le dont d'agacer Em' à chaque fois, elle me dit "dis quoi ?" ou me sort d'autres phrases en rapport avec le verbe dire. rêves d'enfants • Il fut un temps, ou je rêvais à ça. Nous avions pleins de projets, surtout sur notre vie à deux, on voulait des jumeaux. Enfin elle voulait des triplets ... Et puis elle est partie, emportant l'idée, les projets avec elle. Depuis ce jour, je n'ai plus songé à un avenir avec des enfants autour de moi. les choses à faire avant de mourir • J'ai déjà fait beaucoup de ces choses, je pense que la première chose et elle l'aurait voulu : retrouver ce que nous avions. Autant dire une complicité, un partage, un amour, un sens à la vie à deux. J'ai pas mal voyagé, j'ai appris, vu beaucoup de chose. durée moyenne de sommeil • Si je vous dis que je dors très peu et que ça me suffit ? Je dors en moyenne, quatre heures par nuit. Je sais que c'est peu et on se demande ce que je fais de mon temps libre. Je lis, je cours, j'écris, je joue avec Harry, je regarde des films. Autant dire que je suis un cauchemar pour la personne qui dort avec moi. J'ai été insomniaque pendant un long moment, avant d'être débloqué si on peut dire. Ceci dit, je n'ai pas vraiment trouvé un long sommeil, il est court, mais me suffit. cauchemars • Il m'arrive de revivre nos moments et surtout son départ. Cette attente. Cette douleur. Et puis ce cris. Je revois tout ses passages, parfois dans l'ordre, parfois mélangé avec d'autres éléments de ma journée. attrape-rêves • Emm' m'aide quand elle est prêt de moi, sinon la plupart du temps, les ronflements de Barry m'apaise. Il faut dire qu'il sait s'y faire. C'est un Bulldog anglais, donc vous imaginez bien que ronfler et tout ce qui va avec : il connait ! traits de caractère • Patient - Autodidacte - Polyglotte - Bienveillant - Protecteur - Calme - Paresseux - Mature - Drôle - Solitaire - Prudent - Optimiste - Aventurier - Têtu - Passionné - Passionnant - Artiste - Intelligent - Peu enclin à parler de lui - Persévérant - groupe • cherry blossom.
♡ If we make it out alive from the depths of the sea Insérer ici les quelques tics et manies de votre personnage, un minimum de dix points est demandé, mais vous pouvez bien évidemment en faire plus.
pseudo, prénom • j'me présence, moi c'est TAZ ou el diablo pour les non intimes oui je peux être le diable de tazmanie si cha me chante ! : âge, pays • L'nord ! L'nord rien que le lui et toujours lui ! Oui c'est un pays. Winter is coming Et sinon je suis majeur, vaccinée, prêt de la retraite avis sur le forum • C'est qu'il est tout beau et j'aime beaucoup les idées type de personnage • inventé, fin il vient du cerveau de Meg( .avatar • Henry Talbot, fin l'excellent Matthew Goode dédicace & autre • ils sont oufs vos smileys . |
| | | Albus McKinney
• sweet words : 4 • job : pub's owner
| Sujet: Re: The greatest trick the devil ever pulled was convincing the world he didn’t exist. Mar 2 Fév - 23:03 | |
| ♡ Take me to the garden of your ecstasy Les rayons du soleil parcourent la pièce. Assez pour arriver près du lit. Étendu, à demi sous la couette. Ton corps bouge. Tu fais un bon, aussi raide qu'un piquet. Ton front est en sueur, comme ton torse. Ton souffle s’accélère. Passant tes mains sur ton visage, tu tournes la tête vers la gauche. Elle dort. Elle n'a pas été réveillé par ton sursaut. Tu t’éclipses du lit, de ces draps chauds. Tel un robot, tes pas te conduisent vers la cuisine. Tu y attrapes une tasse, machinalement tu mets la cafetière en route. Cherchant ton paquet sur la table. Tu souffles à nouveau. L'impression que ce rêve était réel, qu'elle était là … puis l'instant d'après fauchée par cette voiture. Ton palpitant explosant à l'intérieur de toi. Passant une main sur ton torse, tu sens encore le sentiment de vide. Ce sentiment qui te tue de l'intérieur. Le temps est passé, ton deuil a été fait, mais il n'empêche pas le subconscient. Il ne peut pas l'arrêter d'y songer. Malheureusement pour toi. Clic. Le bruit de ton zippo te ramène sur cette cigarette qui se trouve au bout de ta main. Mauvaise habitude que tu as pris à son départ. Habitude que tu as pris sans trop savoir comment. Tu l'allumes. Sentant en toi cette bouffée, tes poumons n'apprécient pas, mais pour le moment ça t'apaise. Un peu. Pas complètement. Son visage. Il est encore intact dans ta mémoire. Cinq minutes que tu es de retour dans la réalité. Cinq minutes que tu agis tel un robot. L'autre main arrive dans tes cheveux, les grattant et baillant au passage. Les images laissent place à tes pensées. Elles s'entremêlent, tu penses à ce que tu dois faire aujourd'hui. Préparation pour le groupe. La commande. La routine. Toujours et encore. Ce n'est pas ton style, mais depuis que tu as posé les pieds ici, une certaine routine s'est installée. Elle aurait pu te déplaire, mais tu t'y es fait. Au final, ce n'est pas désagréable. Cela te permet de ne pas trop y penser. D'essayer d'être de nouveau toi, de retrouver un bonheur et pourquoi pas de tenir ta promesse. Celle que tu lui as faite. Tu souffles et te diriges vers la machine. Versant le liquide. Ajoutant du sucre. Tu regardes le liquide tourner, cette spirale que tu fais. Celle qui ironiquement pourrait décrire ta vie. Une spirale sans fin. T'as jamais été du genre malchanceux. Tu viens d'une famille aimante, tes parents ont toujours tout fait pour ta sœur et toi. Vous n'avez jamais eu à vous plaindre. Vous avez pas mal voyagé, des pays t'en as visité. Ils t'ont donné le goût de l'aventure, de la lecture, de l'art. La musique tu te le dois. Tes lèvres s'étirent, laissant place à un sourire. Repensant à ce jour, celui où tu as voulu une guitare. Quand tu as dû expliquer à ta mère le pourquoi. Tu voulais savoir jouer pour l'impressionner. Pour qu'elle te remarque. Elle t'avait déjà remarqué à l'époque, mais tu l'ignorais. Ta mère a trouvé ce geste romantique et adorable. Tel un acharné tu as appris tout seul à en jouer. Et puis tu lui as joué la sérénade. Elle a aimé. Elle est devenue ton amie. Ton inséparable. Puis ta moitié. Vous étiez inséparables. Elle disait toujours que tu étais la nuit et elle le jour, le blanc de ton noir, le sel de ton poivre. Elle était le centre de ton univers. La base de ton envie de te lever le matin. Ton énergie et surtout ton rayon de soleil. Tes yeux se ferment un instant. Tu savoures son visage ancré dans ta mémoire. La douleur se réveille, mais elle est moins forte, avec le temps elle est devenue gérable. Tu sais qu'elle ne souhaiterait pas te voir malheureux. Elle te connaissait tout autant que tu la connaissais. Vous n'aviez pas besoin de parler pour vous comprendre. Tu étais heureux. Tu es bien à présent. Il y a des jours ou tu es heureux et y a des jours sans. Au fond de toi, tu sais que tu auras du mal à ressentir ce bonheur, celui que vous partagiez. Celui que tu ressentais à cette époque, mais c'est pas grave. Tu as appris à vivre sans. Des petits pas se font entendre derrière toi, puis un baillant. Tu esquisses un sourire. « Toi aussi t'es tombé du lit. » dis-tu en t'abaissant pour caresser son dos. Harry, ton fidèle compagnon à quatre pattes. Il se dirige vers sa gamelle. Levant sa truffe vers toi, tu souris. Lui ne vit que pour ça : manger, dormir, roter, péter, dormir. Une vie de chien, sa vie. Il a compris qu'il n'aurait rien, sa flemme légendaire l'amène à tes pieds, qu'il réchauffe au passage. Tu scrutes l'heure. Tu as encore le temps. uc |
| | | Megara Potter
• sweet words : 3
| Sujet: Re: The greatest trick the devil ever pulled was convincing the world he didn’t exist. Mar 2 Fév - 23:14 | |
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| | | Daniel Calloway
• sweet words : 52 • job : payé à distribuer des cartes et parker des voitures au casino
| Sujet: Re: The greatest trick the devil ever pulled was convincing the world he didn’t exist. Mer 3 Fév - 7:47 | |
| je connais pas le monsieur, mais il est beau bienvenue et bon courage pour ta fiche |
| | | Maisie Carstairs
• sweet words : 369 • job : posh girl, reader for a reputable publisher.
• EVERY TEARDROP IS A WATERFALL • things to do: read the stack of books , stop thinking about him. • can make a heart open: • availability: (♡♡/3) - rp w/Daniel.
| Sujet: Re: The greatest trick the devil ever pulled was convincing the world he didn’t exist. Mer 3 Fév - 12:30 | |
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| | | Albus McKinney
• sweet words : 4 • job : pub's owner
| Sujet: Re: The greatest trick the devil ever pulled was convincing the world he didn’t exist. Mer 3 Fév - 18:18 | |
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| Sujet: Re: The greatest trick the devil ever pulled was convincing the world he didn’t exist. | |
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